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Messages - sergiodadi

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Articles de sites web / [www.journaldemontreal.com] Les «petits secrets» de Nikki Yanofsky
Les «petits secrets» de Nikki Yanofsky

Avec la parution de son prochain album, Nikki Yanofsky espère faire découvrir aux jeunes mélomanes toute la beauté de la musique jazz. En attendant la sortie de cet opus aux accents pop intitulé Little Secret, la chanteuse a choisi de ­partager ses nouvelles chansons sur scène dans le cadre d’une tournée estivale.

Un arrêt au Festival de jazz s’imposait pour la jeune femme de 19 ans, qui s’est produite pour la première fois dans le ­cadre de l’événement il y a déjà sept ans de cela. Depuis, elle y a offert une douzaine de concerts. Il n’était donc pas surprenant que les trois représentations inscrites à l’agenda du Théâtre du Nouveau Monde ­affichent complet.

Avant d’amorcer le spectacle, le cofondateur du festival André Ménard est monté sur scène afin de présenter celle qui a fait ses premières marques dans sa ville ­natale, Montréal, avant de connaître le ­succès mondial dont elle jouit aujourd’hui. Il a alors annoncé au public qu’il allait avoir droit à un concert composé à 75% de nouveau matériel.

D’ailleurs, ce sont ces nouvelles chansons qui nous ont séduits durant la ­première portion du spectacle (comme on nous interdisait de rédiger dans la salle, nous avons dû nous priver de la deuxième moitié).

Avant-goût

La chanteuse, souriante, mignonne et pleine d’énergie, a fait son entrée sur scène juste avant ses huit musiciens, tous dans la jeune vingtaine. Elle était belle à voir, entourée de ses complices qui avaient opté pour un look décontracté (le bassiste arborait casquette et baskets). Ensemble, ils ont présenté avec passion certaines pièces qui se retrouveront sur le successeur du disque Nikki, attendu à l’automne.

Nous ne voulons pas prédire prématurément le succès de cet album, mais si nous nous fions à ce que nous avons pu entendre sur la scène du Théâtre du Nouveau Monde, hier soir, nous pouvons vous dire que Little Secret ne passera pas inaperçu.

Aux côtés de son mentor et producteur Quincy Jones, l’artiste a voulu ramener le jazz dans le présent, briser les préjugés voulant que ce style soit vieillot et passé de mode. Ainsi, le public a eu droit à des pièces teintées de pop, de R&B et même de swing. Le résultat était plus que réussi. Dans la salle, les spectateurs ont difficilement pu résister aux mélodies accrocheuses qui lui ont été présentées.

La voix de Nikki

La chanteuse, qui possède une magnifique voix, rappelons-le, a également ­profité de ce passage au festival pour ­présenter quelques reprises de classiques, dont Ain’t No Way d’Aretha Franklin et ­Relax Max de Dinah Washington.

La jeune femme a aussi raconté au public sa rencontre avec Stevie Wonder, avec qui elle a pu chanter au mois de mars (elle dit avoir réalisé l’un de ses plus grands rêves). Ensemble, ils ont interprété Let The Good Times Roll de Ray Charles, pièce qu’elle a cru bon inclure dans son spectacle.

Toujours dans sa volonté de toucher un nouveau public, Nikki a ensuite présenté un medley composé de quelques succès radios auxquels ses musiciens et elle avaient insufflé une bonne dose de jazz. En plus de Get Lucky (Daft Punk) et Thrift Shop (Macklemore et Ryan Lewis), elle a complètement transformé Sexy and I Know It de LMFAO. L’exercice était réussi.



[...]



Photo: PASCALE LÉVESQUE

source et suite sur http://www.journaldemontreal.com/2013/07/05/les-petits-secrets-de-nikki-yanofsky
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Articles de sites web / [www.affairesdegars.com] Nikki Yanofsky : nous y étions!
Article de site web:
          Nikki Yanofsky : nous y étions!

Malgré ses 19 ans, Nikki Yanofsky est déjà une grande dame du jazz. Il faut dire qu'elle est dans le milieu depuis son plus jeune âge. Sa première prestation au Festival de jazz remonte, en effet, à 2006. Comme presque à chaque année, l'enfant prodige est revenue au prestigieux festival pour offrir au public une série de trois spectacles inédits présentant les pièces de son nouvel album.
Accompagnée par huit musiciens masculins (piano, guitare, contrebasse, batterie, trombone, trompette, saxophone, synthétiseur), la jeune femme est entrée sur scène vêtue d'une jolie jupe grise rétro et d'un haut noir. Elle affichait un large sourire (qu'elle n'a d'ailleurs pas perdu tout au long de la soirée). Elle était visiblement heureuse de revenir dans sa région natale. Il faut dire que la chanteuse est née à Hampstead, dans l'agglomération de Montréal.
 
Le moins que l'on puisse dire est que les spectateurs ont été gâtés. Environ les trois quarts du matériel présenté lors de ce spectacle (à guichet fermé) étaient nouveaux. En effet, la majorité des pièces était tirée de son nouvel album, Little Secret, qui devrait paraître à l'automne. Les quelques pièces que nous avons entendues sont prometteuses. Elles mélangent admirablement le jazz et le pop.
 
D'ailleurs, entre deux chansons, la vedette nous a avoué qu'elle souhaitait amener le jazz à sa génération. Il est vrai que ce style musical est associé en premier à un public plus vieux. Espérons que son nouvel album (qui, doit-on le rappeler, est produit par le respecté Quincy Jones) permette une plus grande démocratisation du jazz!
 
En plus de ses nouvelles pièces, elle nous a aussi offert un sublime pot-pourri de chansons issues de la pop (comme Bruno Mars et Daft Punk), mais dans une version jazz fort sympathique à écouter. Elle a aussi revisité brillamment quelques « vieux » classiques.
 
Tout au long de la soirée, elle s'est efforcée de parler en français au public, même si, selon elle, ce n'était pas gagné d'avance puisqu'elle parlait le « franglais ». Dans les faits, elle s'est majoritairement exprimée en anglais, mais il est difficile de lui en vouloir, tant elle était adorable sur scène. Par contre, cela ne l'a pas empêchée de chanter une chanson en partie en français, issue de son dernier disque : « Je sais que j'ai de la difficulté à parler en français, mais je peux chanter en français », a-t-elle confié à la foule avant d'entamer la chanson.
 
À 19 ans, Nikki Yanofsky nous prouve qu'elle est déjà une grande diva. Son aisance sur scène ainsi que sa voix souple et puissante n'ont rien à envier aux plus grands noms du jazz.
 
Vivement l'automne pour découvrir son nouveau disque!
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source et suite sur http://www.affairesdegars.com
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Articles de sites web / [www.nightlife.ca] La jeune Nikki Yanofsky séduit le TNM au Festival de Jazz
La jeune Nikki Yanofsky séduit le TNM au Festival de Jazz

C’est dans une série de trois spectacles à guichet fermé que la jeune Nikki Yanofsky enchaîne les classiques du jazz à ses hits de dancefloor favoris ; Daft Punk, Macklemore, LMFAO et The Doors ne sont qu’une partie de ses reprises, faisant du coup la remarquable démonstration que le jazz survit aux époques.

Hier soir, la salle comble du TNM rassemblait une foule visiblement fébrile. L’âge moyen des spectateurs donnait la vague impression d’un spectacle de fin d’année auquel des parents excités assistent. Et au final, c’était un peu le cas : c’est avec la tendresse d’un parent que la foule attendait avec impatience l’enfant du jazz, celle que le festival a dévoilée alors qu’elle n’avait qu'à peine 11 ans, sur une scène extérieure du FIJM.

C’est donc avec l’élégance d’une femme et l’éclat d’une adolescente que Nikki a présenté son nouvel album en exclusivité – des chansons presque entièrement écrites par elle. À n’en pas douter ! Les sujets tournent majoritairement autour des premiers amours, avec tout ce qu’ils ont de romantique et tragique – rappelle-toi tes 19 ans !

La présence sur scène de Nikki (ses petits pas de danse, ses adresses au public et ses ricanements complices) gagnera sans doute en maturité avec les années. Une chose est certaine, si la chanteuse est encore jeune, sa voix, elle, est d’une maturité et d’une profondeur impressionnante.

Nikki Yanofsky, c’est un peu comme la petite voisine qu’on prend plaisir à voir grandir !
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Photo: Frédérique Ménard-Aubin

source et suite sur http://www.nightlife.ca/musique/la-jeune-nikki-yanofsky-seduit-le-tnm-au-festival-de-jazz
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Articles de sites web / [www.ledevoir.com] Petite diva devenue grande
Petite diva devenue grande

 Suffit d’aborder Nikki Yanofsky en parlant de ses débuts au Festival de jazz de Montréal en 2006 devant des milliers de personnes… à seulement 12 ans. Avec tout ce petit « bonnefemme » de chemin parcouru depuis la sortie de Nikki, en 2010, la Montréalaise nous sert quasiment du « Quand j’étais jeune, vous savez… »

La mignonne nous remet ça encore cette année. À guichets fermés pour trois soirs au Théâtre du Nouveau Monde, oui madame, avec toujours cette même énergie qui irradie la majorité de son public en salle, dont l’âge est inversement proportionnel à celui de la chanteuse. Qu’à cela ne tienne, elle entame après une longue intro l’accrocheuse Little Secret, une des chansons de son troisième album qui paraîtra à l’automne, sous l’égide de Quincy Jones, oui monsieur.

Après quelques notes, le public semblait ravi de retrouver « sa » sémillante Nikki. L’humble auteure de ces lignes était toujours dubitative quand elle s’est mise au piano pour Ain’t No Way, une autre nouvelle création. Mais la Nikki, c’est une souplesse dans la voix qui étonne et détonne. Elle nous fait le coup à tous les coups. Au début, on écoute avec les yeux. On comprend bien que le jazz est en train de flirter avec la pop - LMFAO et le fameux Get Lucky de Daft Punk sont de la fête ! - et que ça ne lui pose aucun problème, à la Nikki. À ses fans d’hier et à ceux qui viendront sûrement plus nombreux avec ce nouvel album destiné aux radios les plus commerciales non plus.

Mais quand elle se la joue fifties à fond dans Let the Good Times Roll, qu’elle a chanté récemment avec Stevie Wonders, ou dans Something New, un mélange de son cru des univers de Jones et d’Herbie Hancock, il y a de l’orage dans l’air, le swing arrive par-derrière et le jump blues ressuscite comme par magie. Ce qui est mystique, pour sûr, c’est cet instrument qu’elle manie comme d’autres vont se balader. Même si on aurait bien aimé de vraies choristes pour la mettre davantage en valeur, à l’instar des huit habiles musiciens qui accompagnaient ses moindres trémoussements avec une précision sans faille.

C’est plutôt en deuxième partie du concert qu’elle nous gagne, la Nikki, avec un crescendo de chansons où ses cordes vocales se déploient de manière à faire éclater les coeurs aussi durs que le nôtre. Que de « oh ! » et de « ah ! » se sont précipités quand elle a entamé le fabuleux Killing Me Softly de Roberta Flack.

Une surprise bouleversante nous attendait quand elle a poussé les premières notes de People Are Strange des Doors. Là, on tenait étrangement une partie de l’essence du jazz, celui qui va au-delà du talent et qui prend la souffrance à bras-le-corps. Toutes ces années d’adolescence à trimer dur sous les projecteurs et pas l’ombre d’une ombre dans ce sourire magnifique, ces petites robes proprettes et ces chansons sauce pop ? La Nikki nous a étonnés de nouveau ce soir-là en montrant sa capacité à interpréter les mots maudits du célèbre chanteur provocant et débridé… On y a cru, parole de frissons sur les bras.

Quand finalement Etta James a pris possession de son corps dans le « Baby ! » de I’d Rather Go Blind, c’en était fait. Plantée à côté de son éternel micro Swarovski, la Nikki n’était plus cette petite que l’on remarque pour son âge, mais bien pour son talent. Et dans ce talent-là, il y avait un peu de génie. Du génie de grande, oui madame.

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Photo : François Pesant Le Devoir

source et suite sur http://www.ledevoir.com/culture/musique/382290/nikki-yanofsky-petite-diva-devenue-grande
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Articles de sites web / [patwhite.com] Retour sur le spectacle de Nikki Yanofsky au Festival de Jazz

Nikki a apporté tout un vent de fraîcheur, sur la scène du théâtre du Nouveau Monde, vendredi soir dernier! Elle est devenue après sept ans, une jolie jeune femme avec pleine d’assurance et une maturité à s’y méprendre pour ses 19 ans. Elle possède une voix qui est toujours aussi puissante et pure. Il n’est pas étonnant que son mentor et grand admirateur, Quincy Jones, l’ait pris sous son aile et il a eu raison d’investir sur la carrière d’une future icône de la musique Jazz.

Nikki a époustouflé son auditoire qui était, avec une grande surprise, composé de personnes parmi toutes les tranches d’âges. Elle a offert une excellente performance, en interprétant les titres de son prochain album, Little secret, qui sortira à la fin de l’été 2013. La plupart des nouvelles chansons interprétées s’inspiraient de ses expériences personnelles et surtout au sujet de l’amour, ce qui est bien sûr normal pour une personne de cet âge. Son style musical évolue davantage vers un Jazz plus pop et je suis convaincue que certaines de ces chansons seront un jour diffusées à la radio. Durant le spectacle, elle nous a même confié qu’elle avait eu l'occasion de jouer accompagné du grand Stevie Wonder pour le 80ème anniversaire de Quincy Jones et elle qualifie aussi de meilleur joueur de piano. Elle a également chanté, à sa manière, quelques grands succès du Jazz, telles que I’d rather go blind, d’Etta James et You won’t be satisfied de Ella Fitzgerald et Louis Amstrong.

Mission: Jazz music

Le moment le plus marquant du spectacle est celui où Nikki s’est exclamée de vive voix : « Nous sommes en mission [...] nous allons ramener le Jazz dans ma génération! » juste avant d’offrir un pot-pourri de certains tubes radiophoniques à la sauce Jazz, comme par exemple, la chanson I’m sexy and i know it de LMFAO ou encore celle de Get lucky de Daft Punk. Le festival de Jazz doit continuer à miser sur des artistes comme Nikki Yanofsky, afin de garder ce style musical bien vivant pour les générations à venir! Elle a fait également un peu plus tard dans la soirée, un titre qui rassemblait toutes les personnes présentes dans la salle, celle de Killing me Softly, originalement interprétée par Roberta Flack, dans les années 70, puis reprise plus tard, vers le milieu des années 90, par le groupe Fugees.

Depuis les jeux olympiques de 2010 à Vancouver, qui lui avait donné beaucoup de visibilité avec l’interprétation de la chanson I believe, l’artiste Montréalaise est plus prête que jamais à conquérir le monde de l’industrie musicale.

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source et suite sur http://patwhite.com/node/16302
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Articles de sites web / [www.camuz.ca] Nikki Yanofsky au FIJM : Curiosité, quand tu nous tiens...
Nikki Yanofsky au FIJM : Curiosité, quand tu nous tiens...

Le syndrome de la curiosité. C’est un peu ce qui m’a portée à aller assister au concert (complet) de Nikki Yanofsky, hier soir, au Théâtre du Nouveau Monde.

Un peu moins jazz et beaucoup plus soul qu’à ses débuts, la jeune chanteuse a pris du galon depuis les dernières années, tentant de faire un pont entre sa propension innée pour le jazz traditionnel et son désir d’aller de l’avant avec un style plus actuel.

D’emblée, le personnage de Nikki Yanofsky est toujours celui de la jeune fille spontanée, à la voix mélodieuse et au français cassé. Projetée très jeune dans un monde musical composé presque uniquement d’adultes, la Montréalaise semble aujourd’hui se chercher un style qui lui est propre… sur le mince fil entre la pop-soul et le power-jazz qui la caractérise.

La première partie de ce concert était constitué de balades à saveur soul. J’ai trouvé que certains titres proposés manquaient de substance niveau balance du son, l’emphase étant toujours mise sur la voix de Nikki. En deuxième partie, on a toutefois su retrouver l’essence de la jeune chanteuse en assistant au dévoilement des meilleurs titres de son album à venir, beaucoup plus pop-jazz que soul. Éclatement des cuivres, attitude positive et hip complètement assumé des musiciens et interaction avec le public… tout y était pour faire lever la salle, qui malgré tout demeurait relativement sage. Petite déception : les musiciens qui l’accompagnaient hier soir étaient pratiquement inconnus de la scène jazz montréalaise.

Point intéressant : dans l’ensemble, on aura constaté une esthétique très urbaine, tant au niveau des éclairages, des décors, que des vêtements choisis par les musiciens (dans la vingtaine, il faut le préciser) et leur attitude « à la cool ». Pour moi, cela a témoigné d’une évolution volontaire de la carrière de Nikki, passant de la jeune prodige à la jeune femme assumée, tout comme sa voix en or parfaitement maîtrisée.

Nikki Yanofsky possède sans contredit une voix phénoménale et complètement unique, ce qui est très rare pour une jeune fille de son âge. Malgré son évolution musicale, la chanteuse conserve en elle cette verve jazzistique qui semble infuser son personnage, et même si l’on s’ennuie parfois de l’effet surprise que provoquait une si petite fille à la voix d’Ella Fitzgerald, on ne manquera tout de même pas l’occasion de suivre l’évolution de la jeune femme sur les sentiers du stardom musical, peu importe la direction qu’elle choisira.
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source et suite :
http://www.camuz.ca/blogue/nikki-yanofsky-au-fijm-curiosite-quand-tu-nous-tiens
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Articles de sites web / [Lapresse.ca] Nikki Yanofsky vers les ligues majeures
Rien que cette année, Nikki Yanofsky a chanté en duo avec Stevie Wonder et Quincy Jones l'a prise sous son aile. À 19 ans, l'enfant prodige montréalaise est désormais une artiste à part entière.

Au téléphone, elle ponctue encore ses réponses de petits éclats de rire et son propos n'a rien perdu de sa fraîcheur et de sa spontanéité. Mais Nikki Yanofsky n'est plus la fillette de 13 ans rencontrée à la maison familiale en prévision de ses concerts au Festival de jazz de 2007. Elle a 19 ans, deux albums à son crédit, et un troisième à venir d'ici peu qui pourrait la propulser véritablement dans les ligues majeures.

Remarquez, Nikki se débrouille quand même pas si mal pour une fille de son âge. Invitée fréquente du Festival de jazz, elle a chanté en Europe et aux États-Unis ainsi qu'à la cérémonie des Jeux olympiques de Vancouver. On ne compte plus ses collaborations avec des artistes importants, dont Wyclef Jean, et elle a travaillé avec des réalisateurs réputés, dont le regretté Phil Ramone et Tommy LiPuma qui sera honoré par le Festival de jazz dans quelques jours.

Pourtant, ce n'est probablement rien en comparaison de ce qui attend la jeune femme. Au début de l'année, le grand Quincy Jones l'a prise sous son aile et elle est désormais représentée par Quincy Jones Productions de par le monde. Monsieur Jones, qui a réalisé des albums d'Ella Fitzgerald et de Frank Sinatra aussi bien que le Thriller de Michael Jackson, est le producteur délégué du prochain album de Nikki, Little Secret, qui devrait paraître à l'automne. «Il est très impliqué: il peut suggérer à tout moment de changer une ligne ou de modifier un arrangement», explique Nikki.

C'est également Quincy Jones qui lui a ouvert les portes du prestigieux Berklee College of Music de Boston où Nikki a recruté récemment les cinq jeunes cracks de son nouveau groupe.

«Quincy est mon mentor, lance Nikki. J'avais 15 ans la première fois que je l'ai rencontré. Une connaissance commune lui avait dit: «Il faut que t'entendes cette fille, elle a du talent et elle chante du jazz.» On doit lui dire ça tout le temps... Mais comme je chantais Ella Fitzgerald et qu'il a été le réalisateur et l'orchestrateur d'Ella, il a accepté de me voir. Je suis donc allée chez lui, j'ai chanté Over the Rainbow et Lullaby of Birdland. J'étais tellement nerveuse, mais il a été très cool. C'est drôle parce qu'on ne s'est pas revus pendant presque un an avant de se croiser dans un festival de jazz en Europe. Je suis désormais l'un de ses petits projets.»

Un public de son âge

Quincy Jones n'ouvre pas uniquement les portes de Berklee College. Au Festival de jazz de Montréal comme partout ailleurs dans la tournée de la jeune Montréalaise, on peut lire Quincy Jones présente Nikki Yanofsky. «Dans les festivals de jazz, il y a beaucoup de gens qui ne me connaissent peut-être pas, mais ils savent certainement qui est Quincy Jones», dit Nikki.

Quincy Jones a 80 ans bien sonnés et Nikki a réalisé un rêve en chantant pour son anniversaire avec Stevie Wonder au début de l'année. Mais il incarne mieux que quiconque l'ouverture d'esprit que recherche la chanteuse de 19 ans.

«Avec cette tournée, mon objectif est de rejoindre des gens de mon âge pour apporter le jazz à ma génération. Je transpose des mélodies de jazz dans une forme pop, je les déguise pour que les gens ne sachent pas vraiment ce qu'ils écoutent, ce sont surtout des chansons le fun. Comme me le répète toujours Quincy: la bonne musique est de la bonne musique. Qui de mieux pour faire ça que le roi de ces deux univers, qui a travaillé avec Michael Jackson, Ella et Sinatra?»

Dans ce nouveau spectacle, Nikki donnera un aperçu de son album à venir en proposant des chansons de son cru, mais aussi l'une des trois reprises de l'album, People Are Strange des Doors, devenue une ballade orchestrale. «Elle est complètement différente, dit Nikki. Ça va être super de voir la réaction des gens avant même la sortie de l'album.»

Pot-pourri

Elle me parle également d'un pot-pourri de quatre chansons pop qui trônaient récemment dans les palmarès et qu'elle n'aurait jamais osé reprendre si ses jeunes musiciens ne l'avaient pas encouragée.

«Il y a tellement de chansons d'aujourd'hui que je ne chanterais jamais parce qu'elles ne correspondent pas à mon style, des chansons qui tournent à la radio et au son desquelles j'aime danser. Mon directeur musical, Will [Wells] a suggéré de se les approprier en les transformant et d'en faire un pot-pourri. Parmi celles-ci, il y a Sexy and I Know It de LMFAO dont on fait un genre de blues, et Thrift Shop de Macklemore qui est un peu jazzée.»

Nikki pouffe de rire et se met à chanter dans le combiné: «I'm gonna pop some tags, only got twenty dollars in my pocket.» On ne devrait pas s'ennuyer avec elle au TNM.

source: http://www.lapresse.ca/arts/festivals/festival-de-jazz/201306/22/01-4664158-nikki-yanofsky-vers-les-ligues-majeures.php
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Chamboule-tout / Re : R.I.P
L'inoubliable auteur du "Métèque" et de "Milord" est décédé jeudi matin à Nice à l'âge de 79 ans.

Le chanteur et compositeur Georges Moustaki, auteur de chansons devenues des classiques comme "Milord" et "Le métèque", est décédé jeudi matin à l'âge de 79 ans, a-t-on appris auprès de son entourage. En 2011, il avait confié dans une interview à La Croix qu'il souffrait de problèmes respiratoires et que sa maladie, "irréversible", le rendait "définitivement incapable de chanter". Georges Moustaki souffrait d'emphysème, une maladie respiratoire incurable. "Il est mort au petit matin à 6 heures d'une longue maladie. Il était serein. Son corps sera rapatrié sur Paris", a expliqué une personne de son entourage.

En février dernier, sous oxygénation artificielle, il avait confié dans une ultime interview à Nice Matin s'être installé à Nice pour fuir la pollution et le froid de sa chère île Saint-Louis, à Paris, où il s'était installé il y a plus de 40 ans. "Je regrette de ne pas chanter dans ma salle de bains. Chanter en public, non. J'ai fait le tour. Le tour du monde et le tour des salles, petites ou grandes. J'ai vécu des choses magiques. J'ai appris que ce qu'on croit avoir acquis n'est qu'une partie infime de ce qu'il reste à découvrir", avait-il dit, ajoutant qu'il "notait encore quelques idées (de chansons). Sans hâte".

Georges Moustaki, de son vrai nom Giuseppe Mustacchi, est né le 3 mai 1934 à Alexandrie, de parents juifs grecs immigrés en Égypte. Il s'est installé à Paris en 1951 et y a fait une rencontre déterminante, celle de Georges Brassens qui l'a intronisé dans les nuits de Saint-Germain-des-Prés. C'est en son hommage qu'il a adopté le prénom Georges.
"Milord", "Ma liberté", "Ma solitude"...

Il a écrit quelque 300 chansons pour les plus grands interprètes, Piaf, Montand, Barbara, Gréco, Reggiani, avant de les chanter lui-même avec succès. Ses chansons les plus célèbres restent "Milord" (1958), écrite pour Édith Piaf et traduite dans le monde entier, puis "Le métèque" (1969), d'abord chantée par Pia Colombo et dont le refrain a fait le tour de la planète. Plusieurs autres sont devenues des classiques, comme celles interprétées en 1966 par Reggiani, "Sarah", "Ma liberté", "Ma solitude", "Votre fille a vingt ans", mais aussi "La dame brune" (Barbara, 1968), ou encore "Joseph", "La marche de Sacco et Vanzetti". Polyglotte, artiste peintre, il vivait depuis plus de quarante ans sur l'île Saint-Louis à Paris.

L'annonce de son décès a immédiatement suscité une vive émotion et de nombreuses réactions en France et à l'étranger. "Georges Moustaki nous a quittés : une immense tristesse. Un artiste engagé qui portait des valeurs humanistes, un grand poète #patrimoine", a réagi la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, sur Twitter. "Insatiable #Métèque, vous voilà désormais impalpable grain de sable dans le vent (Éluard). Salut, Milord", a écrit sa collègue de la Justice, Christine Taubira, sur le réseau social.

"C'était un troubadour, un grand auteur, un grand poète. On s'aimait beaucoup même si on n'était pas intimes. Il m'appelait sa petite Line. Mon grand regret est de n'avoir jamais interprété ses chansons. Georges était un homme tranquille. C'était un sage. Il nous laisse des chansons sublimes. Il a parcouru le monde avec sa guitare, chantant le français partout. Il était très protecteur et attentionné", a déclaré Line Renaud à l'AFP. Dans un tout autre genre, le P-DG d'Universal France, Pascal Nègre, s'est empressé de rappeler sur Twitter que les "plus grands succès" de Moustaki étaient "chez Universal". Business, as usual...

source: Le Point
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Nikki en live / Concert à Québec le 22 octobre 2013
Mardi 22 octobre au Théâtre Capitole

C’est avec grande fierté que le Festival de jazz de Québec, en collaboration avec GDG Informatique et Gestion,  présente pour une première fois la chanteuse montréalaise Nikki Yanofsky.  La jeune et prodigieuse artiste a débuté sa carrière dès l’âge de douze ans en se produisant comme tête d’affiche du Festival International de jazz de Montréal.  Depuis, elle s’est illustrée sur les palmarès de jazz et de pop, elle s’est produite avec des Orchestres symphoniques et des big bands de renom et  a fait salle comble dans plusieurs festivals et  salles de concerts à travers le monde.  Nikki Yanofsky s’est aussi fait connaître pour avoir chanté aux Jeux Olympiques de Vancouver en 2010 et pour avoir partagé la scène avec Herbie Hancock, Wyclef Jean, Will.i.am et Elton John.  Maintenant,  c’est nul autre que Quincy Jones, son plus grand fan et mentor, qui l’a prise sous son aile pour la suite de sa carrière, déjà impressionnante. Nikki Yanofsky sera de passage au Théâtre Capitole à Québec à l’occasion de sa tournée Little Secret Tour, afin de présenter le répertoire de son nouvel album très attendu, Little Secret.

source: http://jazzaquebec.ca/spectacles/quincy-jones-presente-nikki-yanofsky-2/
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Nikki / Re : [Nouvel album]
Un tweet de Nikki du 1 avril:

Nikki Yanofsky ‏@NikkiYanofsky 1 Avr
"I'm almost done my album !!!" ("J'ai presque fini mon album !!!")



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Nikki / Re : [Nouvel album]
Un tweet de Nikki du 19 mars:
"Big studio day. Laying down 4 tracks. The bands killin it. Almost done this record."

"Une grosse journée studio. 4 morceaux sont enregistrés. L'enregistrement est presque terminé"

Faut être patient avec Nikki   ;)
88
Nikki / Re : Re : [Nouvel album]
Oui en effet c'est vraiment trop long  :(
On aimerait bien au moins qu'elle nous donne des nouvelles à propos de ce deuxième album  :'(

A moins qu'elle ait décidé de prendre sa retraite  ;)
Une petite nouvelle dans un tweet de vendredi:

"Chill weekend and then in the studio Monday for the next 2 weeks! Finishing this album once and for all :)"

"Weekend froid et ensuite en studio pour 2 semaines ! Dernière touche pour cet album une fois pour toute :)"


89
Nikki / Re : [Nouvel album]
Dernière nouvelle, assez concise... Un tweet du 25 février 2013:

Nikki Yanofsky ‏@NikkiYanofsky
Studio day !

Depuis le temps, elle a du enregistrer au moins une dizaine d'albums ... :D