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Messages - jackoboss

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Forum et communauté / Re : SMF
Bonjour,
comment fait-on pour que, lorsque l'on insère un lien vers une vidéo youtube dans un message, le lien apparaisse en clair et qu'on puisse visionner la vidéo en cliquant sur le lien, et non pas que celle-ci apparaisse directement dans le message ?

autre question :
comment fait-on pour écrire par exemple : "en cliquant ici, blablabla...", et que le mot "ici" soit cliquable vers un lien ?

merci d'avance
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Et les autres...? / Re : Re : Re : Gabriella Quevedo
J'adore la guitare accoustique, voila le morceau  Jerry's Breakdown   Jerry Reed And Chet Atkins Jerrys Breakdown   joué par Chet Atkins   (autre très grand guitariste que j'ai vu à Cannes il y a quelques années avec  Marcel Dadi ) et Jerry Reed (l'auteur de  Jerry's Breakdown).

Ah le grand Chet Atkins !
je trouve qu'il n'a pas la renommée qu'il mérite.
C'est dommage, pour moi c'est peut-être le plus grand guitariste de tous les temps. (enfin, après  Hendrix du moins)
Son tort (si l'on peut dire) a été de se positionner au milieu de deux genres antagonistes, le Jazz et la Country.
Chet Atkins - Mr. Sandman (TV 1954)
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Articles de presse / Interview du New York Times : les photos
Voici les photos qui accompagnent l'article avec la traduction de leur légende :
Toutes les photos sont de Michael Nagle pour The New York Times.

Nikki Yanofsky, la Canadienne de 16 ans, se produisant à l'émission "Morning News" de WPIX à Manhattan


Avant sa prestation, elle a été légèrement maquillée


Après, elle est allée faire du shopping avec sa maman, Elyssa
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Forum et communauté / Re : Référencement
En effet, d'après http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:LE, un lien vers un forum est "déconseillé" (vous remarquerez que ce mot est différent de interdit ;)).
En revanche, il est souhaitable de mettre des liens vers les sites dont sont tirées les sources indiquées dans l'article.
Une astuce serait donc de créer sur le forum du contenu original vers lequel on puisse référencer des infos que l'on écrirait dans l'article  :D

Pas forcément évident, donc concernant l'officialisation du forum, je pense que ça serait bien de le faire avant la reprise de la tournée de Nikki en France, comme ça ceux qui assisteront aux concerts pourront avoir accès au forum dès qu'ils consulteront la page wiki de Nikki. Ce qui n'est pas possible si on attend les concerts pour en parler à Nikki.
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Articles de presse / Interview du New York Times : Traduction
Allez, je me lance :

-les passages en italique étaient en français dans le texte
-les passages notés (ndt) signifient note du traducteur (moi)
bonne lecture.



NIKKI YANOFSKY s'est levée tôt ce jour là. "Mee-ee-ee-ee", chantait-elle, un matin du mois dernier, s'échauffant dans la petite loge d'un studio de télévision de Manhattan. Une maquilleuse se pencha, appliquant quelques touches de dernière minute, puis s'arrêta, regardant le reflet du miroir. «Vous savez comment tout le monde dit, 'Je suis du matin» ou «Je suis du soir ?", demanda Nikki. "Je suis juste une personne." Ses parents, assis de part et d'autre, sourirent.


Mademoiselle Yanofsky, la chanteuse de Jazz-pop de 16 ans originaire de Montreal, était sur le point de se produire sur l'émission "Morning News" de WPIX. C'est l'une des trois apparitions de ce genre qu'elle fit ce jour-là. Avec son petit gabarit, des traits fins et son comportement pétillant, elle semblait encore plus jeune que son âge, mais avait également l'air d'un professionnel chevronné. Elle portait un blazer noir sur un tee-shirt blanc et pantalon en cuir, look sorti de chez Dsquared2, les mêmes designers qui l'avaient glissée dans une robe de cocktail en crêpe de soie rouge pour la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques d'hiver de 2010. C'était en nous livrant une version spectaculairement embellie de O Canada (ndt : hymne canadien) qu'elle fut propulsée ce soir-là sur la scène mondiale (Elle était également la voix derrière le thème des Jeux de Vancouver, "I Believe ").


"Nikki" (Decca), son nouvel album, est dans la même veine grandiose. Co-produit par Jesse Harris et Phil Ramone, ayant au compteur non seulement les dernières années Sinatra ou Tony Bennett, mais également des albums à succès de Paul Simon et Billy Joel, cet album est un mélange de standards et de compositions originales dans le style "adult contemporary" (variété ?), mettant particulièrement l'accent sur le talent qu'a mademoiselle Yanofsky d'imiter Ella Fitzgerald. L'album, mélange d'ardente nostalgie et d'ambition éclectique est assez parlant lorsqu'il s'agit des multiples talents de Mademoiselle Yanofsky et souligne tout aussi clairement certaines distinctions subtiles entre la pratique du jazz et sa perception, en particulier lorsque des intérêts commerciaux sont en jeu.

"C'est vraiment un disque de jazz, et c'est ainsi que nous le mettons en avant, mais il y a des éléments de son écriture qui pointent vers une nouvelle direction", a déclaré Christopher Roberts, président du label Decca. "Nous la suivront où qu'elle aille. Nous n'avons dicté aucune feuille de route".

Il a reconnu que son talent précoce trouverait un écho chez un public plus âgée: «Le premier cercle à qui nous nous destinons est un cercle de jazz, puis un public d'adultes plus large, et enfin, en s'appuyant sur ce succès, peut-être toucher un public plus jeune."


Ces jours-ci, quand le jazz vocal a du succès dans le monde de la pop, il y a souvent un fantôme qui rôde derrière : pensez à Michael Bublé reprenant Frank Sinatra, ou Madeleine Peyroux invoquant Billie Holiday, ou même les duos d'outre-tombe de Natalie Cole avec son père, Nat. Dans le cas de Mademoiselle Yanofsky, l'affinité avec Ella Fitzgerald est profonde. Celle-ci est à la base de son succès il y a quatre ans, quand elle faisait les gros titres au Festival International de Jazz de Montréal. C'est aussi la raison pour laquelle elle a pu participer au disque "We All Love Ella" (Verve), une compilation parue en 2007, et c'est également le thème de son premier album "Ella ... Of Thee I Swing" (2008) publié par A440, un label créé par son père, Richard Yanofsky.

Inévitablement, ce fut aussi un sujet de discussion au WPIX, et même la première question posée. Mademoiselle Yanofsky y répondit avec un enthousiasme réfléchi, mais sa prestation resta à l'écart de cette référence. Au lieu de cela, elle interpréta "Over the Rainbow" dans un style suggérant un final de Broadway, aux accents R&B.


"Je ne me considère pas comme une chanteuse de jazz", a déclaré Mademoiselle Yanofsky lors d'un petit-déjeuner avec ses parents, après avoir quitté le studio. "Je me considère simplement comme une chanteuse. Parce que si je ne me considérais que comme une chanteuse de jazz, alors je ne serait pas autorisée à faire toutes ces petites inflexions, choses que je tends à faire naturellement. Ce serait me tirer une balle dans le pied, passer à côté d'autres genres qui pourraient m'aider à grandir en tant qu'artiste. "

Elle cita les éléments de pop et de soul de son album "Nikki" pour appuyer ses dires.

"C'est une question de polyvalence», dit-elle. "Et la chose est, je suis comme ça dans tout. Un jour, je décide que je veux être hippie, le lendemain, je décide que je veux être un rockeur. "

La relation de mademoiselle Yanofsky au jazz est évocatrice et évasive. Elle embrasse son attirail - scat notamment, la prestation de haute voltige sans paroles qui était une spécialité Fitzgerald - avec une fidélité remarquable, comme si elle enfilait un costume ou habitait un rôle. "Nikki" s'ouvre avec une flânerie à travers "Take the 'A' Train", à la mode Fitzgerald. L'album comprend églalement "I Got Rhythm" avec assez de place pour un scat héroïque, et "You'll have to swing it (M. Paganini)", une chanson de Ella Fitzgerald par excellence. Et puis, il y a "First Lady", une chanson originale dont le nom atteste purement et simplement son inspiration : "Je me sens obligée de vous remercier / Chère Ella" (ndt : paroles de la chanson)



"Elle a ses charmes et son cachet, certes  incroyables, mais cachet d'imitation. De plus, elle fait preuve d'une certaine aisance professionnelle sur scène", a déclaré Michael Bourne, l'hôte de "Singers Unlimited" (chanteurs sans limite) sur WBGO-FM, la station de jazz de Newark, qui a fait d'elle sa vedette pour un gala l'année dernière. «J'ai hâte d'entendre la promesse du cachet de Nikki comme elle grandit et se développe dans une artisticité vraiment sincère."


En sous-entendant que le jazz impose une cetaine limitation stylistique, Miss Yanofsky semble en décalage avec les courants contemporains de jazz vocal, une discipline qui n'a cessé d'évoluer vers l'ouverture et la flexibilité.

"Il y avait une période où le chant jazz est vraiment devenu plus conservateur", a déclaré Dominique Eade, un vétéran du domaine. "Mais je sens que cette sensibilité forte et éclairée et créative, venant de jeunes chanteurs d'obédiences diverses, est marquée dans la culture d'aujourd'hui."

Membre de longue date de la faculté au New England Conservatory à Boston, Mme Eade a encadré pas mal nouveaux venus impressionnants, dont Jo Lawry, Sara Serpa et Julie Hardy. La nouvelle esthétique serait le mieux représentée par "In A Dream" (ObliqSound), un album sorti l'année dernière par Gretchen Parlato, qui chante dans un style éveillé, éthéré, et éclairé par les avancées harmoniques du jazz d'après 1960 et les aspects lumineux de la musique brésilienne.

La situation n'était pas si différente il y a 10 ans, quand les chanteurs de jazz de premier plan se répartissaient principalement entre deux camps : les hybrideurs agités, comme Cassandra Wilson, et les classicistes hautement polissés, comme Diana Krall. Cette époque a même eu sa Nikki Yanofsky en Jane Monheit, dont les boucles noires et son comportement sérieux s'accompagne d'un style impeccablement articulé. "Elle chante et agit beaucoup comme une sexy, jeune, et blanche Ella Fitzgerald", écrivait alors David Hajdu à propos de Mme Monheit, dans The New York Times Magazine.

Un changement important au cours de la dernière décennie a été l'arrivée de Norah Jones, chanteuse d'instinct jazz, mais avec un penchant pour le country-folk. Il ne semble guère être une coïncidence que Miss Yanofsky ait écrit la plupart des titres originaux sur son album avec M. Harris, qui a écrit "Don't Know Why", le tube de Norah Jones.


"Quel que soit ce qu'il manque à Nikki en nombre d'années, Elle ne manque pas de confiance et d'enthousiasme", a déclaré M. Harris, ajoutant que leur collaboration (également avec le chanteur et parolier Sexsmith), a produit plusieurs chansons par jour : ballades mélancoliques, comme "For Another Day", et chansons aux parfums Motown, comme "Cool My Heels".


M. Ramone, le producteur, a déclaré qu'il avait encouragé Miss Yanofsky à écrire, comme un moyen d'étendre sa carrière. "Une fois que passée la nouveauté, c'est fini", a-t-il déclaré, à propos de son scat. "Vous avez à courir avec ces chaussures, et cela doit être bon."


Au petit déjeuner, des préoccupations similaires ont été évoquées par ses parents, Richard et Elyssa Yanofsky, qui forment également d'équipe de management à leur fille. "La dernière chose que je veuille être, c'est un stupide animal de foire" dit M. Yanofsky. Claviériste amateur, il a reconnu le talent de sa fille très tôt. "Je savais qu'elle avait l'oreille absolue vers l'âge de 2 ou 3 ans", a-t-il dit.

"Mais alors, nous ne pensions pas à une carrière" ajouta Elyssa.

"Non, bien sûr que non", répondit Richard. C'est absurde." Nikki s'exclama: "Ouais, ils ne m'ont jamais, jamais, jamais poussé, ce qui est incroyable. Ils m'ont juste soutenue. J'ai toujours dit "Je veux être chanteuse, je veux être chanteuse".

Son père ajouta : "Tout cela était tellement organique. Rien n'a été prévu, c'est juste arrivé naturellement. J'avais un groupe de reprises et nous l'avoins emmenée sur quelques concerts."


Pourtant, les débuts de Nikki, à 11 ans - chantant "Respect" d'Aretha Franklin avec ce groupe - a été perçu par ses deux parents comme un déclic. "J'ai dit à Elyssa, «Après ce soir, tout va être différent pour elle» " a déclaré M. Yanofsky.

Peu de temps après, c'est André Ménard, directeur artistique du Festival de Jazz de Montréal, qui a vu Miss Yanofsky jouer avec le groupe de son père dans un club local.

"J'ai entendu cette voix remarquable, et c'était bizarre, presque inquiétant, à entendre ce qu'elle semblait canaliser», se souvient-il. "Elle avait 12 ans, mais avait l'air d'en avoir 9. J'ai donc rencontré ses parents et leur ai dit que nous devrions lui trouver une place pour jouer dans notre programme libre. Et le père a attrapé l'occasion l'occasion. Ils ont monté ce grand spectacle pour elle, dépassant largement le budget. Elle était sur tous les média nationaux cette nuit-là. "


Après le petit déjeuner, il y avait du temps à tuer avant sa prochaine prestation à Midtown 'ndt : quartier de Manhattan), sur "Better", un programme sur le réseau Meredith (ndt : réseau de média), ciblant un public féminin. Miss Yanofsky en profita pour aller en mission afin de trouver des baskets Converse dans une nuance particulière de vert. Après quelques interrogatoires assez persistants de vendeurs parr sa mère, ilsont finalement eu la chance de trouver une paire. Nikki les essaya, envoya une photo sur Twitter et déclara qu'elle les porterait pendant la prestation à venir. Je devrais être sponsorisée par Converse," dit-elle.

Son apparition à "Better", un entretien se voulant simple, s'est bien déroulée. Audra Lowe, l'hôte, n'a même pas mentionné Ella Fitzgerald pendant la première minute et demie, et quand elle le fit, Miss Yanofsky a décoché le parfait équilibre entre déférence et distance.

"Sur les reprises, vous entendez mes influences et vous savez qui m'a inspiré, et puis vous écoutez les chansons originales, lesquelles j'ai toutes co-écrites, et d'une certaine manière vous entendez comment ils m'ont inspiré", a-t-elle dit, répétant une ligne mentionnée plus tôt. "D'une certaine façon, vous apprenez à me connaître à travers ma musique."


Voilà. Certaines tournures ne sont pas idéales, mais j'ai essayé de rester fidèle au texte de départ.
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Et les autres...? / Re : Katie Melua
Et pour ceux qui n'auraient pas vu la lumière :


Ketevan (Katie) Melua est née à Koutaïssi (Géorgie) le 16 septembre 1984. À huit ans, elle déménage avec ses parents à Belfast, en Irlande du Nord, puis à Londres en 1998. C'est à l'âge de 18 ans, alors qu'elle étudie la musique à la Brit School for Performing Arts (dans la même promotion qu'Amy Winehouse entre autres), qu'elle se fait remarquer par le producteur Mike Batt, qui lui permet d'enregistrer son premier album, orienté Jazz et Blues : Call Off The Search (2003).
Katie Melua - Call Off The Search
Katie Melua - Closest Thing To Crazy

En 2005 sort son deuxième album : Piece by Piece, dans la continuité du précédent.
Katie Melua - Nine Million Bicycles
Katie Melua - Piece By Piece - Sopot 2006

Le troisième album, Pictures, ne tarde pas, et sort à l'automne 2007. Toujours produit par Mike Batt, il contient néanmoins plus de chansons coécrites par Katie. Moins orienté Jazz, cet album se veut une collection d'images illustrant le cinéma.
Katie Melua - Mary Pickford
Katie Melua - If You Were A Sailboat

Le quatrième album, The House, sorti en 2010, marque une forte rupture avec les précédents. C'est le premier album à ne plus être produit par Mike Batt (William Orbit s'en chargera). Il marque donc un tournant dans l'évolution musicale de Katie. Avec un album contenant des textures plus électro et pop, Katie affirme une certaine indépendance artistique. Cependant, cet album sera globalement moins bien accueilli par ses fans que le précédent.
Les clips suivants montrent bien le côté coloré et déjanté que l'on retruve dans presque tous les clips officiels de Katie :
Katie Melua - The Flood
Katie Melua - A Happy Place

Son cinquième album est prévu pour le 17 novembre et nous l'attendons tous avec impatience !!!


Parmi les influences de Katie Melua, on peut citer des artistes aussi divers que Joni Mitchell, Leonard Cohen, Queen, Bob Dylan...

Mais surtout, c'est Eva Cassidy qui a eut la plus grande influence sur Katie, qui lui a notamment dédié une chanson : Faraway voice.
Katie Melua - 01 - Faraway Voice (Live At Fairfield Halls Croydon 18-03-2004)
Grâce aux nouvelles technologies, Katie Melua a eu la chance de faire un duo avec Eva, pourtant décédée en 1996, sur le magnifique What A Wonderful World :
Katie Melua & Eva Cassidy - What A Wonderful World

Katie est tout autant à l'aise sur des ballades épurées, comme ici le déchirant I Cried For You...
Katie Melua - I Cried For You (live AVO Session)
...Que sur les blues endiablés, accompagnée de son incroyable groupe de talentueux musiciens. Ici, My Aphrodisiac Is You.
Katie Melua - My Aphrodisic Is You (live AVO Session)



Pour ceux qui douteraient encore de la profondeur de la musique de Katie, sachez qu'elle est entrée dans le livre Guinness des records pour avoir donné le concert le plus profond : 303 mètre sous le niveau de la mer. C'était dans le pilier d'une station de gaz en mer du nord :
Katie Melua - The Gig on The Rig (Concert Under The Sea Trailer)

Beaucoup de choses restent encore à dire sur cette fabuleuses artistes. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous, par exemple, sur le lien posté par Serge.

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Chamboule-tout / En ce moment j'écoute.... Si Cranstoun
Argh je ne la connaissais pas cette vidéo, j'adore entendre Lisa chanter dans sa langue maternelle, surrrrtout quand elle rrrroule les "r" elle est absolument craquante !   :D
Moi aussi j'adore quand elle chante en suédois !
au fait, Claude, quand est-ce que tu nous fait un forum pour la "blondinette" ?

Au fait, je viens de découvrir ça :
ça ça envoie...
je savais pas qu'on faisait encore des trucs comme ça de nos jours...

Si Cranstoun Dynamo Official Video
Si Cranstoun - Little By Little Official Video