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Topics - sergiodadi

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Articles de sites web / [fr.canoe.ca] Quincy Jones impressionné par Nikki Yanofsky
Quincy Jones sait reconnaître le talent.

Donc, lorsque le producteur-compositeur-arrangeur légendaire de 81 ans (Frank Sinatra et Michael Jackson figurent parmi ses collaborateurs de ces six dernières décennies) décide de cogérer la carrière de Nikki Yanofsky et d'assurer la production exécutive de son dernier album Little Secret, la jeune chanteuse pop-jazz originaire de Montréal peut se permettre de dire qu'elle a «officiellement» réussi.

«Savoir qu'une personne comme Quincy croit en vous, cela vous donne l'impression que vous pouvez tout faire, car s'il met de l'espoir en vous, vous ne voulez pas le décevoir, a déclaré Yanofsky, 20 ans, accompagné de Quincy Jones lors de sa récente visite à la Canadian Music Week de Toronto. C'est le roi du jazz et le roi de la pop en matière de production, il est à la frontière de ces deux mondes (…), le fait de l'avoir à mes côtés était idéal.»

Rencontre déterminante

Lorsque Nikki Yanofsky rencontre Jones, elle n'a que 14 ans et collabore déjà avec une autre légende de la production, Phil Ramone. «Je suis allé chez Quincy, car il savait que je chantais du jazz, a expliqué l'artiste dont la seule date confirmée de sa tournée canadienne est le 27 juin, au Metropolis de Montréal, dans le cadre du Festival international de jazz. Puis, elle s'envolera avec Quincy Jones en Europe, pour donner une série de spectacles en solo.

«Je suis persuadée qu'il reçoit beaucoup de propositions de la part de jeunes chanteurs. C'est génial d'avoir eu la chance de le rencontrer. Il est entré dans son salon, vêtu d'un peignoir Missoni, il a toujours son Missoni, ses chaussons et un «smoothie» aux bleuets. Il s'est assis et m'a dit: «Alors, qu'allez-vous me chanter?», et j'ai chanté Somewhere Over the Rainbow et Lullaby.

«J'ai été époustouflé, a commenté Jones. J'ai rencontré Stevie Wonder quand il avait 12 ans, Aretha Franklin et Michael Jackson au même âge. J'ai rencontré beaucoup de gens, et le talent est en eux à cet âge-là. Dès que Nikki a ouvert la bouche, je l'ai entendu, immédiatement. Comme nous le savons depuis longtemps dans l'industrie du disque: si vous ne pouvez pas identifier le chanteur en 20 secondes, cela ne fonctionnera pas. L'identité doit être présente. J'ai tout de suite reconnu la sienne. C'est la chose la plus importante, et j'ai toujours été un défenseur des jeunes qui ramenaient la musique à ses origines.»

Moment idéal

Pour faire court, le moment était idéal pour Quincy Jones pour produire Yanofsky, et les résultats sont probants sur Little Secret.

«J'ai commencé à travailler sur les chansons et je les ai montrées à Quincy, l'une d'elles était Something New avec (le classique instrumental de Jones) Soul Bossa Nova (dans la chanson), un hommage que j'ai voulu lui rendre pour le remercier, et il m'a dit qu'il avait aimé, que la touche jazz avait apporté quelque chose de nouveau.»

Jones, dont la charge de travail actuelle comprend 10 films, quatre albums et six spectacles à Broadway, a confié ne pas vraiment vouloir changer le son de Yanofsky, mais plutôt avoir une relation ouverte et honnête avec elle. «Je voulais voir qui elle était vraiment, c'était important, elle sait qui elle est. Il n'y a rien qu'elle ne puisse me dire, et vice-versa. C'est très important, c'est un signe d'amour.»

«Je voulais avoir des chansons originales qui unissent mes influences à la musique contemporaine et aux choses que j'aime écouter en ce moment, faire quelque chose de frais et nouveau, a ajouté Yanofsky. C'était incroyable. Comme il l'a dit, il voulait simplement que je sois moi-même, et c'est quelque chose de rare.»


source: http://fr.canoe.ca/divertissement/musique/nouvelles/2014/05/22/21688561-qmi.html
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Articles de sites web / [francemusique.fr] Jazz Bonus : Nikki Yanofsky
 
Parution chez Universal de « Little Secret » de la chanteuse canadienne Nikki Yanowsky.

Depuis ses débuts fracassants au Festival International de Jazz de Montréal 2006 où elle devint à 12 ans la plus jeune tête d’affiche de l’histoire de cette manifestation, la chanteuse canadienne Nikki Yanofsky a parcouru bien du chemin.

Du sommet des charts jazz - près de 50 000 ventes en France pour « Nikki » son dernier album sorti en 2010 - à la cérémonie d’ouverture des JO de Vancouver où elle se produisit devant 3,2 milliards de spectateurs, des tournées prestigieuses dans les plus belles salles du monde (mémorable Olympia à Paris en 2011) aux fructueuses collaborations avec des légendes telles que Stevie Wonder, Will.i.am ou encore Elton John, la jeune prodige a, sans conteste, su confirmer les espoirs placés en elle!

Bénéficiant désormais des conseils avisés de Quincy Jones, son mentor, co-manager et producteur exécutif, Nikki présente « Little Secret », un nouvel album explosif au croisement du jazz originel - tel qu’il était dansé dans les juke joints du Sud des Etats-Unis dans les années 30 -, de la soul sixties et d’une certaine pop, gorgée de soleil californien. Un charme rétro mais produit de manière moderne au point qu’il est parfois difficile de déterminer de quelle époque datent les chansons.

Enregistré et réalisé avec l’aide de Rob Kleiner (Cee-lo Green, Flo-Rida…), Harmony Samuels (Ariana Grande, Chris Brown…), David Wilder (Macy Gray, Rod Stewart…), Mocean Worker et Dan Cinelli (Prince, Arcade Fire) Nikki réussit à mêler parfaitement structures de pop-song et cuivres de big-band, rythmes festifs et harmonies d’une grande finesse, mélodies entêtantes et solos de scats… Sa voix puissante et parfaitement maîtrisée, assure la cohérence de l’ensemble.

Cette approche trouve sa parfaite illustration dans « Something New », le premier single de l’album, une chanson pétillante qui emprunte des éléments à « Soul Bossa Nova » de Quincy et à « Watermelon Man » d’Herbie Hancock en leur insufflant un groove imparable.

Quand on demande à Nikki comment elle définirait sa musique, elle répond en souriant : « un mélange d’Ella Fitzgerald, d’Etta James, de Ray Charles, de Quincy… et de moi».

Voilà donc son petit secret !

source: http://www.francemusique.fr/jazz/jazz-bonus-nikki-yanowsky-28644
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Articles de sites web / [www.melty.fr] Nikki Yanofsky : Little Secret, son album sort aujourd'hui
Nikki Yanofsky : Little Secret, son album sort aujourd'hui !

Nikki Yanofski n'avait pas sorti d'album depuis 2010. Aujourd'hui, elle sort "Little Secret" à 20 ans. Elle a déjà parcouru un bon bout de chemin.

Quatre ans après son premier album, Nikki Yanofski revient ! Elle sort son album jazz et soul, "Little Secret" ce 19 mai. Elle a travaillé avec Quincy Jones sur cet album, l'ancien producteur de Michael Jackson. Le premier titre de son album s'intitule "Something New". Le clip de cette chanson, sorti en septembre 2013, est associé à des couleurs et un décor vintage. Son dernier album, Nikki (2010) avait comptabilisé 50000 exemplaires en France. Sur son compte Twitter, la chanteuse semble ravie de la sortie de son album en France : "Bonjour la France ! Mon album #LittleSecret est sorti aujourd'hui ! Hope you like it :) Merci".

Et puisqu'elle aime notre pays, elle sera en concert le 1er juillet divan du monde à Paris et le 3 juillet au Théâtre Antique de Vienne. Lors d'un interview avec melty.fr, Nikki Yanofski a confié que "commencer jeune [lui] a prouvé qu'[elle] pouvait le faire".Nikki Yanofski, la chanteuse canadienne est un enfant prodige du jazz. Dès l'âge de 12 ans, elle se produit sur un bon nombre de scènes. En 2010, elle a chanté l'hymne canadien aux jeux d'Olympique d'hiver à Vancouver. A l'âge de 17 ans, Nikki Yanofski s'est produite à l'Olympia. Si jeune et déjà un CV bien rempli !


source: http://www.melty.fr/nikki-yanofsky-sortie-de-son-album-aujourd-hui-a285773.html
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Articles de sites web / [www.lapresse.ca] Nikki Yanofsky: un disque qui lui ressemble
Nikki Yanofsky: un disque qui lui ressemble

Nikki Yanofsky lancera enfin mardi l'album Little Secret, qu'elle chantait déjà au TNM lors du Festival de jazz de l'an dernier. Un disque de chansons plus pop et actuelles et pourtant vraiment enracinées dans le jazz, explique la jeune chanteuse montréalaise.

Nikki Yanofsky est une habituée du Festival de jazz de Montréal où elle chantait déjà à 12 ans, mais elle en sera à son premier concert au Métropolis le 27 juin. C'est pourtant la salle qui convient le mieux à la musique de son nouvel album, Little Secret, dont le producteur exécutif est nul autre que Quincy Jones.

De passage à La Presse, la chanteuse de 20 ans s'en réjouit: «Quand les gens sont debout, ils sont plus portés à danser et il y a plus d'énergie dans la salle.»

Elle ne le dira surtout pas, mais le Théâtre du Nouveau Monde n'était pas l'endroit idéal pour étrenner, près d'un an avant la parution de Little Secret, les chansons de ce disque plus pop et rhythm and blues que le répertoire plus traditionnel que lui connaissaient ses fans montréalais.

Le public du TNM était «réservé» l'an dernier, reconnaît-elle poliment. «Mais au Festival de jazz, même quand je fais plus de standards, c'est un public qui apprécie la musique, qui écoute, donc ce n'est jamais vraiment une foule en délire, ajoute-t-elle. De toute façon, je voulais donner un avant-goût des choses à venir au Festival de jazz parce que c'est un peu là que tout a commencé pour moi.»

Nikki en a fait du chemin depuis sa première présence sur une scène extérieure du Festival de jazz en 2006. Ces dernières semaines, elle était au Japon et en France pour présenter ses nouvelles chansons bien rodées avec un groupe plus soudé. À l'été, elle fera la tournée des festivals européens, dont le Love Supreme britannique qui l'enthousiasme au plus haut point.

«Même si ce disque a un son plus contemporain, il y a tellement plus d'éléments de jazz dans les chansons», dit-elle avec assurance. Nikki y fait souvent allusion, pas tant pour impressionner la galerie ou satisfaire aux exigences de la «police du jazz» qui l'a à l'oeil, blague-t-elle, mais parce que c'est tout naturel pour elle, qui s'est fait connaître en reprenant du Ella Fitzgerald. Ce disque lui fournit également quelques occasions de donner dans la haute voltige vocale, mais elle n'en abuse pas. Ce serait manquer de maturité, estime-t-elle.

Un disque d'été

Pourquoi Little Secret a-t-il mis tant de temps à paraître?

«Je visais l'automne dernier, mais le son de cet album en fait plus un disque d'été, dit-elle. Si le processus a été long, c'est aussi parce que je voulais avoir la meilleure sélection de chansons possible. J'ai écrit tout près de 100 chansons pour cet album. Même si elles n'étaient pas toutes bonnes, je voulais filtrer toutes les idées et garder la crème de la crème.»

Certaines de ces chansons n'existaient même pas quand elle a mis les pieds au TNM l'an dernier. Comme Necessary Evil, inspirée d'une vieille chanson d'Aznavour, Parce que tu crois, dont on a emprunté l'intro de cuivres, comme l'avaient fait jadis Dr. Dre, Eminem et Xzibit ainsi que Blu Cantrell et Sean Paul.

«J'adore faire ça», dit-elle dans un élan d'enthousiasme. Elle s'est également follement amusée à rafraîchir une chanson des années 30 rebaptisée Jeepers Creepers 2.0 et à greffer à sa propre chanson Something New des éléments de Soul Bossa Nova de Quincy Jones et de Watermelon Man de Herbie Hancock, en guise de coup de chapeau à ses deux mentors.

«C'était une surprise pour Quincy, dit-elle. J'étais tellement heureuse qu'il l'aime parce que c'était très énervant de lui présenter cette chanson qui contient un peu de la sienne. Something New incarne vraiment ce qu'est cet album: un mélange de neuf et de vieux. Le jazz est trop souvent perçu comme un genre fait sur mesure pour un public plus âgé ou une musique trop intimidante pour la moyenne des gens.»

Pour la première fois dans sa jeune carrière, assure-t-elle, elle a refusé tout compromis, comme le lui avait suggéré le trompettiste Wynton Marsalis il y a quelques années. C'est pour ça qu'elle n'a pas hésité à emprunter une nouvelle direction.

«Pour moi, c'était la prochaine étape logique. Ce disque me ressemble vraiment. Ce n'est pas juste d'enfermer une personne de 16 ans dans un son précis jusqu'à la fin de ses jours. Je change constamment, j'évolue. Peu importe ce que vont en dire les critiques, cet album est un pas vers la maturité pour moi. Ça, personne ne peut me l'enlever.»

source: http://www.lapresse.ca/arts/musique/entrevues/201405/05/01-4763823-nikki-yanofsky-un-disque-qui-lui-ressemble.php
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Articles de sites web / [www.ledevoir.com] Nikki Yanofsky, séparer l’enfant de l’artiste adulte

Nikki Yanofsky, séparer l’enfant de l’artiste adulte

La jeune prodige du jazz montréalais se lance corps et âme dans la pop et le groove avec Little Secret

Ce n’est un secret pour personne : Nikki Yanofsky est à la fois un feu et un hymne à la joie. Entre deux vols, elle prend le téléphone avec des accents si enthousiastes qu’on la croirait en direction d’une plage des Seychelles. Que nenni, elle s’en va à Toronto… et en chantant, pardi ! La jeune diva de 20 ans avait tout de même quelques minutes à accorder au Devoir afin de nous dévoiler en avant-première l’intime de son deuxième opus, Little Secret.
 
« Le processus de fabrication de l’album m’a vraiment forcée à réfléchir sur ce que je voulais dire », répond l’étoile quand on lui demande pourquoi le disque n’est pas sorti à l’automne, comme elle l’avait promis l’été dernier, alors qu’elle donnait un concert au Théâtre du Nouveau Monde. « À ce moment, j’avais déjà fait un long chemin et je ne sais pas pourquoi je l’ai annoncé ainsi, mais il fallait encore remixer, remastériser, se rencontrer pour finaliser tout ça. »
 
Un long chemin ? « Oui, ça fait longtemps que je suis là-dessus ! », se rappelle celle qui a continué de chérir ses premiers grands amours. Sur cet album, la nouvelle Yanofsky épanche un goût métamorphosé pour la pop, sans jamais renier Fitzgerald, Jones, Etta James, Ray Charles, Herbie Hancock et autres maîtres savamment panachés dans sa voix. Comme dans un conte de fées, Nikki admire les plus grands et, comble de bonheur, ils sont aussi dingues d’elle ! La protégée de Quincy Jones est donc assurée de demeurer dans le sillon jazz où elle a grandi.
 
« J’ai rencontré Quincy quand j’avais 14 ans. Déjà, à cet âge, je crois que c’était au Montreux Jazz Festival, j’avais senti que je faisais partie de son équipe », raconte la jeune femme. Le trompettiste insiste chaque fois en parlant d’elle : « She’s got “it” », qu’il traduit par l’« instinct, la technique et le “feeling of the soul”  ». Producteur exécutif avec Rod Temperton de Little Secret, celui qu’on surnomme « Q » a livré avec le temps bon nombre de ses trucs à la petite Nicole. « Les meilleurs qu’il m’ait donnés sont d’être moi-même, d’aimer la musique et de suivre mes convictions. » Ah oui, lesquelles ? « Elles sont tout entières dans cet album », nous répond l’énigmatique brunette.

Convictions et maturité
 
L’oeuvre qu’elle a peaufinée durant deux ans témoigne de l’acquisition d’une maturité véritable. Vocalement, il ne s’agissait pas d’un défi. Rappelons pour la énième fois que la Yanofsky a grimpé sur les planches du Festival international de jazz de Montréal (FIJM) en 2006, à l’âge de 12 ans ! Non, là, elle s’est servie des années d’écriture de son album pour « séparer l’enfant de l’adulte et de l’artiste » qu’elle est maintenant, avec davantage de convictions donc.
 
Est-ce que cela aura pour effet de renouveler son public, dont l’âge est inversement proportionnel au sien ? « Jamais je ne jugerai ceux qui m’aiment. Un public est un public ! », rétorque Nikki en parlant de ses inconditionnels, qu’elle surnomme même ses #niksters (contraction de Nikki et sisters) sur les réseaux sociaux. Si elle ne se rappelle plus les moments de sa vie où elle ne chantait pas, eux risquent de ne pas reconnaître leur prodige après la sortie de l’album.
 
Avec des chansons comme Something New ou Kaboom Pow, l’enfant chérie du jazz se lance corps et âme dans la pop et le groove. Dans Bang — tout comme sur les photos de son nouveau site Web —, la belle a même des relents de celle qu’on a nommée très justement l’« icône du cool » dans les années 1960, Nancy Sinatra. Yanofsky ne rechignerait donc pas du tout si les mains qui l’applaudissent se rajeunissaient un peu. Comble de chance, le FIJM 2014 lui offre le Métropolis plutôt qu’une salle où les gens ne sont qu’assis : « Je suis vraiment excitée à l’idée de faire le Métropolis cet été, c’est ma première fois dans cette salle et je crois que les gens vont pouvoir danser s’ils veulent. Ça va changer ! »

Se compromettre
 
Peu importe l’âge, la jeune Montréalaise confond tout public, grâce notamment aux scats extraordinaires dont elle seule a le secret. Et les autres mystères que laisse planer l’album ? « C’est la première fois que je me compromets vraiment, où je dis en quelque sorte : je crois en ça. » C’est tout ? « Tout le monde a des secrets, je ne peux pas te révéler les miens, [qu’ils demeurent cachés] fait partie de ma personnalité ! »
 
Donc tout va bien dans le meilleur des mondes ? Nikki Yanofsky a le talent, la beauté, l’argent, les voyages… « Je ne peux pas dire qu’il me manque quelque chose, que je ne suis pas heureuse, ce serait vraiment ingrat de ma part, j’ai tout ce que je veux. » Et on l’imagine serrer contre elle Harry, son petit caniche blanc, antidote à la solitude qui va de pair avec les tournées.
 
On lui rappelle en fin d’entrevue les frissons qu’on a eus l’été dernier lorsqu’elle a entamé People Are Strange. Quand on lui demande pourquoi elle ne nous en fait pas davantage des comme ça, qui triturent là où ça fait mal, elle prend une petite pause. Puis, elle nous explique que ce n’était pas très facile d’être une enfant vedette à l’école.
 
Même si elle avait des amis, la jeune prodige se sentait tout de même incomprise, esseulée. Cette chanson des Doors réussit à lui faire extérioriser ces émotions du passé quand elle l’interprète, tellement qu’elle a pensé l’offrir en bonus sur son album. Comme quoi, quand on se débarrasse d’un secret qui pèse lourd, on peut risquer de se hisser encore plus près des étoiles…

source: http://www.ledevoir.com/culture/musique/406959/nikki-yanofsky-separer-l-enfant-de-l-artiste-adulte
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Articles de sites web / [www.hellocoton.fr]#instantmusique et découverte de Nikki Yanofsky

#instantmusique et découverte de Nikki Yanofsky - Something New 

 L’ancienne enfant prodige, et chanteuse à la voix prodigieuse, Nikki Yanofsky, revient le 12 mai 2014 avec un nouvel album Little Secret très attendu dont on découvre le premier extrait : Something New. Après avoir chanté aux Jeux olympiques de Vancouver (la chanson thème), puis aux côtés de Stevie Wonder à Las Vegas, Nikki Yanofsky a été prise sous l’aile du tout-puissant Quincy Jones. Sous sa houlette, Nikki Yanofsky se métamorphose en Etta James moderne, et propose, à 19 ans seulement, une musique au croisement du jazz et de la soul vintage. Découvrez l’imparable Something New qui emprunte avec malice des éléments à « Soul Bossa Nova » de Quincy Jones et à « Watermelon Man » d’Herbie Hancock.

 Depuis ses débuts fracassants au Festival Jazz de Montréal en 2006, la chanteuse canadienne Nikki Yanofsky, tout juste 12 ans à l’époque, a parcouru bien du chemin. Forte du succès de « Nikki » sorti en 2010 (près de 45 000 exemplaires vendus en France), l’enfant prodige, digne héritière d’Ella Fitzgerald, présentera son nouvel album « Little Secret » le 12 mai prochain.

 Sous la houlette de Quincy Jones, Nikki se métamorphose en Etta James moderne et propose, à 19 ans seulement, une musique au croisement du jazz et de la soul vintage, dégageant une énergie des plus contagieuses. Son premier single « Something New » est un titre plein de malice qui emprunte des éléments à « Soul Bossa Nova » de Quincy Jones et à « Watermelon Man » d’Herbie Hancock en leur insufflant un groove imparable.

source: http://www.hellocoton.fr/to/PROe#http://www.misterbonsplans.fr/2014/04/instantmusique-et-decouverte-de-nikki.html
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Articles de sites web / [www.espace.mu] Nikki Yanofsky : Le petit secret de la nouvelle star

À l’occasion de la sortie de Little secret, écoutez l’album en entier!

Voici le genre d’album que les puristes de jazz vont trouver outrageusement pop, mais que les radios commerciales, elles, vont juger comme trop sophistiqué, truffé qu’il est de clins d’œil rétro-jazz, blues, big band et même swing. Pourtant, si le pari n’est pas encore gagné, la belle Nikki Yanofsky l’assume pleinement. « Il fallait bien briser un moule, affirme-t-elle. Cet album me représente vraiment. »

Vingt ans et toutes ses dents, l’enfant prodige devenue femme mord dans la vie et réalise ici son rêve ultime. Car depuis sa tendre enfance, la Montréalaise n’a jamais rien fait d’autre que chanter, prétend-elle. C’est ainsi qu’André Ménard lui avait offert une scène en plein air, face à l’esplanade de la Place des Arts, quand elle n’était encore qu’une préado. Sa carrière était lancée. La plus jeune artiste à avoir joué au fameux festival de jazz de sa ville natale s’est ensuite envolée pour L.A. avec ses parents et a rencontré là-bas Q, Quincy Jones lui-même, qui est tombé instantanément sous son charme et l’a prise sous son aile. Un vrai conte de fées!

Ella, sors de ce corps!

Avant même la parution de son disque Nikki sous l’étiquette de disques familiale A440, la petite surdouée avait enregistré Ella… of thee I swing, entièrement consacré au répertoire d’Ella Fitzgerald, la première dame du jazz. Mais plus question aujourd’hui d’égaler les plus grandes prouesses de scat. Dans la foulée de Something new (premier extrait et premier clip lancés l’été dernier), on entend surtout ici une énorme machine à groove. Des claquements de doigts, une contrebasse gigantesque, un gros orchestre avec des chœurs luxuriants, bref, les grands moyens!

De ballade jazz (You mean the world to me) à la chanson RnB super sexy (Waiting on the sun), Yanofsky se donne à fond sous l’œil avisé de Q, le grand patron, qui en a vu d’autres… C’est lui qui met en scène Nikki-la-dynamo avec sa voix resplendissante. Tour à tour exubérante, révoltée et coquine, la femme-enfant révèle son petit secret, son intime confession :

« I’ve tasted poison. There’s no coming back. »

Cet album dynamique va-t-il lui offrir aux États-Unis une popularité comparable à celle d’un autre Canadien, Michael Bubblé, qui tient le record des palmarès jazz? On ne va pas attendre longtemps la réponse à cette question!

Une chose est sûre, plus personne, bientôt, ne dira : « Nikki qui? » ni  « Nikki who? »

source: http://www.espace.mu/jazz/lu-vu-entendu/10380
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Nikki en live / Showcase à Paris le 22 mai 2014
Le Jazz s'écrit à la Fnac Saint-Lazare avec le showcase de la très séduisante Nikki Yanofsky pour son nouvel album Little Secret.

Depuis ses débuts fracassants au Festival International de Jazz de Montréal 2006 où elle devint à 12 ans la plus jeune tête d’affiche de l’histoire de cette manifestation, la chanteuse canadienne Nikki Yanofsky a parcouru bien du chemin.

Bénéficiant des conseils avisés de Quincy Jones, son mentor, co-manager et producteur exécutif, Nikki présente Little Secret, un nouvel album explosif au croisement du jazz originel - tel qu’il était dansé dans les juke joints du Sud des Etats-Unis dans les années 30 -, de la soul sixties et d’une certaine pop, gorgée de soleil californien. Un charme rétro mais produit de manière moderne au point qu’il est parfois difficile de déterminer de quelle époque datent les chansons.

Quand on demande à Nikki comment elle définirait sa musique, elle répond en souriant : « un mélange d’Ella Fitzgerald, d’Etta James, de Ray Charles, de Quincy… et de moi».

Voilà donc son petit secret ! Venez découvrir la pétillante Nikki Yanofsky le jeudi 22 mai à 18h dans le forum de rencontres de la Fnac Saint-Lazare.

Cet événement est gratuit et ouvert au public, dans la limite des places disponibles.
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Articles de sites web / [newton mag] Nikki Yanofsky : le jazz retrouve son âme d’enfant
Interview de Nikki (source newton-mag.com):

Avec son charmant accent anglo-saxon, Nikki, jeune prodige du jazz remarquée en 2010 et ayant déjà parcouru l’Europe en héritière d’Ella Fitzgerald, a en quelques minutes conquis mon cœur de rockeur, bercé par les racines de la black musique depuis que les Clash ont osé un mélange parfait. Enchainant un concert bondé deux jours plus tôt à Paris et journées promo ainsi que sessions acoustiques, la jeune fille, artiste depuis une dizaine d’années, a aujourd’hui 19 ans et s’avère bien déterminée à prouver la force de sa personnalité moderne et passionnée. Avec « Something New », Nikki dévoile plus d’une de ses facettes.

Avec son premier titre empruntant à la fois à la bossa nova, au jazz et à la pop ainsi qu’au groove, elle prouve que ce qui se dégage de sa voix sait aussi refléter toute la fraicheur de son nouvel album. Souriante, enjouée, la naïveté est dans son cas bonne à prendre tant elle apporte un regain de joie dans une journée grisâtre. Avec son groupe elle sillonne les routes et reviendra cet été en Europe. Une constance qu’elle assume pour sa musique et aussi l’attachement sur scène. Nikki fabrique ses mélodies comme elle lie des liens avec les gens, avec spontanéité et simplicité. De quoi rendre cette jeune relève d’Amy Winehouse d’autant plus touchante. Avec délice on découvre cette future Etta James sous la houlette du grand Quincy Jones, qui ajoute avec malice de la bossa-nova dans du jazz, du groove dans la pop.

Est-ce qu’avoir un groupe autour de toi est une importante différence avec le précédent album?
Oui, c’est une stabilité importante qui est apportée avec le groupe. Ils jouent à la fois sur l’album et sur scène avec moi. Cela me permet d’avoir le même son à tous les spectacles. Mon premier album, je l’ai fait à 12 ans. Maintenant j’ai 20 ans et entre temps, j’ai grandi, j’ai aujourd’hui la possibilité d’explorer mon son. Auparavant, je faisais beaucoup de standards. A contrario, ces chansons, sont les miennes, complètement ! C’est mon son, plus jazz, plus contemporain mais toujours avec ces influences. Il y a dans ces titres quelque chose qui rappelle les Big Bands des 60′s, le Skat’, du jazz accessible…

C’était une priorité d’avoir un son plus moderne?
Ce n’est pas tant intentionnel, mais on est en 2014 et j’écoute beaucoup de musiques actuelles, elles m’inspirent comme tout ce qui m’entoure. Et d’ailleurs je pense que je ne peux pas uniquement évoluer dans une musique qui est mienne, je dois aussi puiser ailleurs.

Pour cet album, quelles ont été tes influences?
Ella Fitzgerald est pour moi la meilleure. Beaucoup de chansons sur cet album ont été inspirées par Ray Charles, Etta James, Stevie Wonder, mais aussi des artistes modernes comme Bruno Mars, que j’aime beaucoup même si je reste plus jazzy que lui car il fait beaucoup de Doo Wap. Et bien-sûr également Amy Winehouse. Elle a été d’une grande influence. Dans 20 ans les gens se souviendront d’elle, cette artiste fait loi et on dira bientôt que c’était une légende ! Elle a ouvert la porte pour le jazz, avec du ska, two tone,… Quand tu écoutes Back to black, (elle fredonne, ndlr) ce titre est foncièrement très jazzy avec ses break beats ! Sa musique a ouvert des portes.

Comment es-tu tombée dans la musique?
A 10 ans je faisais beaucoup de petits concerts pour des associations, des ONG et des mariages,…. A 11 ans, le fondateur du festival de jazz de Montréal m’a entendu chanter et même si j’étais plus dans un style très Motown et soul que jazz, il m’a demandé si je voulais ouvrir lors de son festival. Je suis alors retournée chez moi, j’ai tapé dans google « jazz » et j’ai découvert Etta James : j’étais émerveillée. J’ai ensuite chanté devant 1250 personnes…C’était énorme ! J’ai toujours su que je voulais chanter. A l’âge de 6 ans je faisais des shows pour ma famille et je me mettais en colère si personne ne faisait attention à moi.

Tu es très jeune et pourtant ce nouvel album a été produit par Quincy Jones…
C’est véritablement un grand honneur. Pour mon premier album, j’ai eu l’opportunité de travailler avec Phil et avec Quincy, qui sont deux de mes producteurs préférés, donc travailler avec eux était une superbe occasion. Mais Quincy avait plus un rôle de superviseur. Si quelque chose était trop bas ou s’il fallait ajouter telle ligne…il était là pour le signaler. Quincy est bien placé pour comprendre à la fois le monde de la pop et du jazz, d’où l’importance de son point de vue dans ma musique car il a travaillé avec des grands comme Michael Jackson qui tout comme moi voulaient mélanger ces deux mondes-là. Et c’est tout spécialement sur ce point qu’il m’a apporté une grande aide. Je connais Quincy depuis que j’ai 14 ans, on avait une amie en commun. Elle lui a dit qu’elle connaissait une jeune fille qui chantait du jazz. Entre temps, une année passe et on se retrouve au même festival de jazz. Il m’a vue chanter et ma demandé si je faisais quelque chose le vendredi suivant. Je lui ai dit que j’étais libre, et je suis allée jouer au Montreux Jazz Festival avec lui. Depuis cela, la suite logique pour moi était de faire un album avec lui !

Le travail de composition de cet opus fut long?
Oui, très long… Presque quatre années au final. J’ai écrit beaucoup de chansons, jusqu’à une centaine, c’était un long processus. Parfois j’écris a capella et après j’ajoute les cordes mais cela dépend. Il m’arrive de juste commencer avec un titre et d’écrire une chanson autour, ou alors de travailler autour d’une mélodie. Mais je n’ai pas spécialement de rituel de composition. Je suis vraiment instinctive. D’ailleurs quand je fais ça mes amis pensent que je suis bizarre ! Je m’arrête en pleine conversation pour dire « ah ça ! Ca ferait une bon titre ! » et je l’écris. Mais en général je compose surtout les mélodies.

On connait ton nouveau single : Something New, est-ce le titre qui représente le plus l’album?
Oui, Something New c’est vraiment la chanson représentative de l’album, de ce mélange rétro et du son moderne qui s’y associe, mais je pense que toutes les chansons ont quelque chose de différent : si tu aimes le hip hop, le jazz ou la soul, tu aimeras plus telle ou telle chanson. Toutes les chansons que j’ai écrites tentent de construire une sorte de pont entre le rétro et le moderne. « You Mean the world to me »,  lorsque je l’écrivais, je voulais qu’elle sonne comme un vieux standard, et pouvoir ajouter un gros beat sans que personne ne soit surpris. Car parfois quand tu le fais sur une reprise standard, les gens ne comprennent pas alors que là je me laisse aller à faire des choses inhabituelles.

Tes textes sont-ils personnels ?
J’aime les concepts et j’adore quand les chansons racontent une histoire. Parfois je regarde un film et je me dis que c’est bien pour une histoire, ou si j’en ai entendu une ça m’inspire pour une chanson et je l’utilise. L’album me représente en tant qu’artiste et aussi en tant que personne.

Ce disque reflète une ambiance très positive et fraiche, c’est ton parti-pris ?
Merci. Je ne vais pas mentir, il y a des gens qui disent qu’il faut être triste pour être un artiste torturé et que les gens s’identifient. Or, il n’y a rien de mal à être heureux ! J’aime bien savoir que les gens ont besoin parfois de chansons qui les rendent heureux.

As-tu déjà eu des difficultés à cause de ton jeune âge dans ce business ?
Il y a parfois eu des réticences en raison de ma jeunesse dans ce business. Mais je sais que ce n’est pas un travail facile alors je sépare les choses car pour moi, c’est toujours juste une question de musique avant tout.

Qu’as-tu encore à découvrir dans la musique ?
Encore tellement. J’écoute de tout : du rock, du hip hop des choses actuelles. Je suis assez ouverte sur les styles musicaux. Tu peux apprendre de toute chose dans la vie et la musique. C’est ce que je crois. J’aime découvrir à la fois des anciens et des nouveaux groupes.

Ca ne t’es jamais venu à l’idée de monter un girls band comme dans les 60′s ?
Peut-être, en guest alors ! Je préfère rester solo, car c’est bizarre mais par exemple dans mon album j’aime faire mes propres harmonies, choeurs et voix, j’aime être partout !

Nikki Yanofsky, Little Secret, le 19 mai 2014.

Tiphaine DERAISON

source: http://www.newton-mag.com/nikki-yanofsky-jazz-retrouve-ame-denfant/
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Articles de sites web / [www.meltyfashion.fr] Nikki Yanofsky Something New, les looks rétro du clip

Nikki Yanofsky, jeune chanteuse canadienne de 20 ans, débarque en France avec "Something New", son dernier clip rétro où elle arbore des tenues preppy.

Vous ne connaissez peut-être pas encore Nikki Yanofsky, cette jeune chanteuse canadienne de 20 ans, mais vous allez bientôt entendre parler d'elle. Cette enfant du jazz, dont le deuxième album "Little Secrets" a été produit par Quicy Jones a déjà travaillé avec de grands noms de la chanson comme Will.i.am ou Elton John. Et si elle sait s'entourer d'artistes de renom dans son travail, elle met autant d'efforts à parfaire son apparence coquette et vintage car au-delà de sa musique aux accents rythm and blues, c'est le look de la jeune femme qui retient toute notre attention. Chic et preppy, elle porte sans son clip "Something New" une tenue entièrement rouge qui nous fait un peu penser celle de la jolie chanteuse de country Taylor Swift en tenue rouge passion sur scène le 1er Février 2014. Mais lorsque la caméra rétro se braque sur elle, on voit Nikki Yanofsky dans un univers des années 60 avec les cheveux wavy, un épais trait d'eyeliner sur les paupières et une tenue girly composée d'un top en dentelle et d'un pantalon à petites fleurs blanches.

Loin du total look noir de Lea Michele dans le clip "Cannonball" qui avait une allure sombre, le clip "Something New" de Nikki Yanofsky respire la joie et la fraîcheur. Au bord de la piscine, Nikki Yanofsky revêt un maillot de bain Wildfox et des lunettes de soleil vintage, une tenue en totale opposition avec le teddy bleu et blanc du début du clip signé True Religion. Le moins que l'on puisse dire, c'est que Nikki Yanofsky aime les enseignes branchées comme TopShop et American Retro, qui l'ont habillée pour le clip. Mais dans la vie de tous les jours, Nikki Yanofsky aime aussi les vêtements de créateur et le luxe comme Miu Miu, Chloé, House of Harlow, Rag & Bone ou encore Repetto. La jeune femme a du goût ! On vous invite à regarder "Something New", le clip rétro de la belle Nikki Yanofsky et à découvrir la musique entraînante de cette jeune chanteuse de jazz !

Source: http://www.meltyfashion.fr/nikki-yanofsky-something-new-les-looks-retro-du-clip-a274693.html
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Articles de sites web / [melty.fr] "Commencer jeune m'a prouvé que je pouvais le faire"
Lors d’un rapide passage à Paris, la jeune chanteuse de jazz Nikki Yanofsky s’est confié à melty.fr. Elle évoque sa carrière et ses débuts mais aussi et surtout son prochain album, qui s’annonce déjà comme un succès.

Nikki Yanofsky, c’est d’abord une voix chaude aux accents dynamiques qui vous entraîne dans un univers jazzy et plein d’énergie. La jeune artiste a commencé tôt, vraiment très tôt, puisque dès l’âge de douze ans, elle se produisait déjà au Festival International de Jazz à Montréal, séduisant tout un public nourri aux chansons d’Ella Fitzgerald et de Louis Armstrong. Pour autant, sa jeunesse n’a jamais constitué un obstacle pour Nikki, bien au contraire, cela lui a donné des ailes, " Commencer jeune m’a prouvé que je pouvais le faire. Parce que j’étais aussi jeune, cela m’a aidé à comprendre qu’il n’y avait aucune raison d’être nerveuse. ". Depuis, elle connaît un succès mérité, enchaînant les concerts – elle a même participé à la cérémonie d’ouverture des JO d’hiver de Vancouver en 2010, puis s’est produite à l’Olympia l’année suivante – et sortant 2 albums en 2 ans, Ella… of Thee I Swing (2008), un album de ses performances live, puis Nikki (2010), son premier album enregistré en studio.

En septembre 2013, Nikki Yanofsky revient enfin avec un nouveau titre, " Something New ", produit par Quincy Jones, plein de son énergie joyeuse habituelle, introduction à son prochain album, Little Secret. S’il lui a fallu un peu de temps pour trouver son thème, le processus d’écriture a ensuite été très rapide une fois ce dernier déterminé, " C’est allé relativement vite parce qu’une fois que j’étais lancée, avec un thème, c’est devenu très simple d’écrire en suivant cette direction. "

Nikki Yanofsky, chanteuse, jazz
La chanteuse met sa joie de vivre dans ses chansons

Son inspiration pour ses chansons, Nikki la trouve d’abord dans sa vie quotidienne, mais parfois elle " s’inspire de film ou d’histoire qu’[elle] a entendu ou de chansons différentes. ". Mais ce qui la motive le plus, c’est bien sûr " de ramener le jazz au cœur de ma génération. ". Quand melty.fr lui demande si elle ne ressent pas une certaine pression, son dernier album ayant été un véritable succès, la jeune chanteuse répond avec sa bonne humeur qu’il n’en est rien. " Mon dernier album a eu beaucoup de succès, mais celui-ci est très différent. Mais parce que j’ai mis tant de moi en lui, et parce qu’il s’est écoulé tant de temps entre les deux, même si ça ne marche pas pour quelque raison que se soit, j’en serais quand même très fière. ". Et sur son nouvel album, elle nous a même réservé une petite surprise. La Canadienne, qui parle un français parfait, a ainsi repris une de ses chansons en anglais qu’elle a ensuite traduit dans la langue de Molière !

Mais l’on doute sincèrement que la jeune artiste échoue à séduire un public qu’elle a pleinement convaincu et qui la compare d’ores et déjà à un nouvelle Ella Fitzgerald, qu'elle a toujours admirée. À ce sujet, Nikki Yanofsky, cette enfant prodige du jazz, demeure très humble. " C’est un très grand compliment mais c’est aussi difficile de se montrer à la hauteur. […] C’était la meilleure et je sais que je dois faire quelque chose de différent, parce qu’elle a déjà presque tout fait. ". Et la chanteuse possède deux gros atouts, son ardeur au travail et son attitude toujours très positive, ses deux petits secrets pour être aussi incroyable.

En attendant, elle continue son chemin avec cette attitude positive qui est la sienne et profite de chaque instant, et surtout de ceux, précieux, qu’elle passe sur scène. Quant à savoir quel souvenir elle préfère, la chanteuse hésite. Entre l’Olympia et les JO, difficile en effet de choisir ! Alors que vous soyez fans de jazz ou non, il ne fait aucun doute que l'univers et la voix de Nikki Yanofsky sauront vous captiver.

source: http://www.melty.fr/nikki-yanofsky-commencer-jeune-m-a-prouve-que-je-pouvais-le-faire-exclu-a273935.html
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Articles de sites web / [ungrain2sable.wordpress.com] Nikki Yanofsky et son Little Secret !
Alors, si tu ne connais pas Nikki Yanofsky et si (et là je m’adresse aux filles) tu es ce qu’on appelle une jalouse… QUITTE CETTE PAGE TOUT DE SUITE !  Oui parce que Nikki, c’est LE genre de fille à te filer des complexes: belle, sympa, jeune, talentueuse, une voix de fou, une culture musicale assez calée et en plus elle a du succès. Voilà. Désolée de t’infliger ça mais elle a beaucoup trop de talent pour que je ne t’en parle pas.


Nikki Yanofsky c’est déjà un album studio et live, un dvd live, une tournée mondiale aux cotés de Marvin Hamlisch (rien que ça), de nombreux festivals comme le grand festival international de jazz de Montréal,  la chanson thème des Jeux olympiques d’hiver de Vancouver, la cérémonie d’ouverture de ces jeux olympiques, une production de Quincy Jones…. le tout alors qu’elle vient d’avoir 20 ans (elle a commencé tout ça à l’age de 12 ans ). Alors tu la sens monter cette jalousie, hein ?


Sa musique c’est du Jazz mais comme elle le dit, elle prend de l’ancien pour en faire quelque chose de neuf… alors elle mélange des sonorités jazz (qu’elle a grâce à une sacrée connaissance) avec des sonorités plus pop.

C’est marrant parce que dans le monde et surtout au Canada (d’où elle est originaire) c’est un peu une rockstar jazzy alors qu’en France elle est encore méconnue du grand public (mais elle a tout de même vendu près de 45 000 exemplaires de son premier album hein… ) alors vu son talent, c’est de notoriété publique de la faire reconnaître par tout le monde non (la fille qui exagère à peine) (mais je dois préciser que je rarement sensible aux voix féminine alors là c’est bon signe)

Et ça tombe bien parce qu’elle aime la France, et qu’il y a quelques jours elle était en showcase privé pour la sortie de son tout nouvel album Little Secret. Et comme les choses sont bien faites, j’y étais aussi !


On a pu découvrir, au Carmen (un bar dans le 9ème arrondissement), la toute jeune Nikki et ses nouveaux morceaux. Et là c’est le coup de coeur, pas que pour moi, mais pour une grande majorité des gens présents. En même temps tout y est pour qu’on craque: sa musique est juste top, elle est très jolie, elle a de l’humour, parle un franglais parfait, ses musiciens sont juste géniaux… ect ect…

Niveau musique, c’est frais, jeune mais avec des sons anciens (comme je te le disais)… un bon album à écouter durant ton été ! Elle y fait aussi des reprises mais à sa manière: en remixant comme elle dit… On écoute donc sans s’en apercevoir d’anciens morceaux que l’on pense connaître par coeur parce qu’elle sait parfaitement se les approprier avec sa musique.

Justement le premier single de son nouvel album  emprunte des éléments à « Soul Bossa Nova » de Quincy Jones et à « Watermelon Man » d’Herbie Hancock en leur insufflant un groove imparable. Et comme je fais bien les choses (oui, j’aime parfois me lancer des fleurs), je t’ai filmé ce titre lors du showcase, il se nomme Something New alors ENJOY !

Alors si tu as envie de découvrir un peu plus Nikki Yanofsky, son deuxième album qui se nomme Little Secret sort le 19 mai et elle sera en concert à Paris le 1er Juillet au Divan du Monde !


source: http://ungrain2sable.wordpress.com/2014/04/10/nikki-yanofsky-et-son-little-secret/
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Articles de sites web / [http://www.rtl.fr] Grand Studio RTL
Nikki Yanofsky a répondu à l'invitation de Jean-Yves Chaperon et elle est venue présenter son album "Little Secret" au public de L'heure du jazz, sur la scène du Grand Studio de la rue Bayard. Quincy Jones, du haut de ses 80 ans et presqu' autant à révéler les plus grands talents, de Sarah Vaughan et Ray Charles à Michael Jackson, Quincy Jones a produit ce nouvel album et Nikki a réussi son pari : swinguer comme les plus grandes en y ajoutant les nombreuses touches de sa palette personnelle qui est déjà très vaste, bien qu'elle n'ait qu'à peine 20 ans ! Vous jugerez sur pièce à l'occasion de la diffusion de ce concert prochainement sur RTL.

Source: http://www.rtl.fr/emission/l-heure-du-jazz/billet/decouvrez-les-premieres-images-du-concert-de-nikki-yanofsky-enregistre-hier-au-grand-studio-rtl-7771081265